Un gynécologue-sexologue peut utiliser un vibromasseur pour diagnostiquer des troubles sexuels comme le vaginisme et la dyspareunie. Pendant l'examen, le vibromasseur n'est pas inséré dans le vagin et la patiente a le droit de refuser de se soumettre à cette méthode.
Il arrive que des patientes consultent un sexologue avec un problème de vaginisme, de dyspareunie, de perte des besoins sexuels ou d'absence de sensation de plaisir. Si, après avoir recueilli l'entretien, le sexologue déclare qu'un diagnostic gynécologique approfondi est nécessaire, alors il demande une consultation gynécologue-sexologue.
Ensuite, le médecin peut utiliser un vibromasseur pour éviter de se concentrer sur la douleur. Il est utilisé pour tester le réflexe vaginal à travers un arc réflexe court, non associé à une émotion d'excitation. Les vibrateurs génitaux masculins sont également utilisés de la même manière pour tester les érections réflexes afin de voir si les systèmes nerveux et vasculaire responsables de l'érection sont normaux.
Le vibromasseur est un distracteur lorsque la douleur est psychogène ; la douleur somatogène persiste malgré l'action du vibromasseur.
Lors de l'examen, le vibromasseur n'est jamais inséré dans le vagin, mais uniquement appliqué sur la vulve. Si un vibrateur est entré dans le diagnostic, au plus tôt après la 4ème séance de traitement. Le patient doit toujours être informé des étapes et des méthodes de traitement. Il a également le droit de refuser de se soumettre à la méthode proposée. Lors de l'examen, elle peut être accompagnée d'une personne proche.
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