Passer Noël dans une bonne ambiance chaleureuse est même imposé par les médias et les publicités colorées. C'est une belle idée, mais il n'est pas toujours possible de la mettre en pratique. Habituellement, la première pensée de Noël est positive, mais dans de nombreuses familles, rencontrer cette fête peut être une cause de colère ou de mauvais souvenirs. Le contact de Noël avec votre famille cette année sera-t-il une perspective de joie ou de frustration ?

L'image d'une famille heureuse, avidementdépenserles uns avec les autresNoël,désirer des contacts, sourire - c'est quelque chose d'exagéré ou c'est ce que vous réunissez nous identifions? Nous sentons-nous heureux ou tristes dans l'odeur des sapins de Noël, des gâteaux cuits au four et du vernis à plancher ? Si c'est ce dernier cas, peut-être vaut-il la peine de faire quelque chose ?

Dans une famille religieuse, on chante des chants de Noël et les gens vont à l'église pour la messe de minuit. En non-religieux - Noël et le réveillon sont surtout des rencontres mondaines, mais ils peuvent aussi être l'occasion de vivre des choses que l'on n'a pas tous les jours ou que l'on a de moins en moins : contact sympa, conversation.

Noël : avez-vous des souvenirs positifs ou négatifs ?

Les attentes de la plupart des gens concernant les réunions de famille à l'occasion de Noël sont positives.

Ils s'attendent à un bon moment avec leurs proches. "Seules certaines personnes ont une attitude négative ou ambivalente, soit à cause de mauvais souvenirs, soit à cause de quelque chose du passé qui a perturbé leur relation avec leur famille", explique le Dr Sonia Geller, psychologue et psychothérapeute.

Noël n'est pas seulement une tradition

Ces fêtes sont de moins en moins célébrées religieusement, réfléchissant à leur message, éprouvant une profondeur spirituelle en rapport avec elles.

Certains d'entre nous sont offensés par leur niveau superficiel, la banalisation et la commercialisation, et l'excès d'incitations dans la longue période d'avant Noël, qui est de nous inciter à faire des achats coûteux. Pour la plupart, ils sont une occasion de fête et de cadeaux. Et pourtant, le réveillon de Noël, un dîner de gala - en un mot, des rencontres pendant la période des fêtes - en raison de la profondeur du message préservé par la tradition, peut être une raison de réfléchir sur les relations familiales, par exemple pour initier des changements pour le mieux.

Les vacances peuvent provoquer des sentiments mitigés

Puisque chaque opportunité qui vous donne une chance d'améliorer votre relation est bonne, il faudrait avant Noëlpréparer le terrain pour cela, tenter de renouer les liens brisés, réparer ou approfondir ceux qui existent.

Vous pouvez, par exemple, pardonner à quelqu'un, bien que pardonner ne signifie pas oublier, mais simplement se souvenir ou essayer de revenir sur quelque chose qui s'est passé. Lorsque nous nous attardons sur les torts du passé, nous finissons par nous faire un deuxième tort pendant des années, peut-être bien pire.

Pour beaucoup de gens, les vacances peuvent susciter un conflit interne de valeurs : d'une part, la tradition, la dimension familiale et spirituelle, d'autre part, un sentiment de mal, du ressentiment, de la colère ou des souvenirs d'événements scandaleux, l'alcool incidents, violences, etc. Cela crée une ambivalence. Confrontées à un conflit interne, certes source de souffrance, ces personnes peuvent accepter ou refuser de participer aux festivités. L'équilibre des pertes et des gains peut soit les inciter à entrer dans cette situation (d'autant plus que leur conflit concerne rarement toute la famille, plutôt un ou deux de ses membres), bien qu'il ne soit pas confortable, soit au contraire - le rejeter.

L'argument pour "pour" est qu'en dehors des contacts "gênants", ils ont une chance de rencontrer des gens qu'ils aiment et aiment, avec qui ils sont en bons termes. L'argument pour décider de ne pas participer aux réunions de Noël ou de limiter votre présence au minimum nécessaire est le souci de votre propre bien-être.

Vacances : si pas en famille, alors avec qui ?

Si passer Noël avec notre famille nous rend désagréable, nous pouvons essayer de l'organiser à notre manière - partir, inviter des amis solitaires - mais n'oubliez jamais ces personnes qui sont notre réseau de soutien, qui pourraient mal prendre notre absence . Même conscients que cette absence n'est pas à cause d'eux, ils peuvent se sentir sans importance, ignorés.

Vaut-il la peine de ne pas participer du tout aux vacances en raison d'un conflit avec une personne ? - Il n'y a pas de recettes toutes faites, chaque situation est psychologiquement différente. Je pense qu'il est important de réfléchir à ce que Noël peut faire pour moi. Peut-être ne seront-ils pas ce dont je rêvais, avec l'ambiance que je souhaiterais, mais dans l'ensemble, il vaut mieux pour moi y participer que d'être seul. Cela se produit aussi dans l'autre sens. Nous nous protégeons car nous avons un père alcoolique et bien sûr il va devenir ivre et agressif. C'est un énorme problème pour moi, il serait donc préférable que j'évite cette situation - conseille le Dr Sonia Geller.

Nous sommes parfois malades ou déprimés, et nous craignons le curieux ou la sympathie de parents perdus depuis longtemps. Et encore une fois - il n'y a pas de recettes toutes faites. - Si quelqu'un décide de participer aux vacances, il doit tenir compte du fait que les choses se passeront bien, et en même temps il peut compter sur la sensibilité,tact et empathie des membres de la famille. Et quand elle se sent vraiment mal, elle peut toujours sortir.

Je crois que ça vaut la peine de prendre le risque, mais aussi de prendre soin de soi s'il y a quelque chose, dit la psychologue. Pour que les vacances, censées être édifiantes par nature, ne nous dévastent ni ne nous blessent. - Si les relations familiales sont cordiales, alors peut-être que le seul obstacle pour se sentir bien sera le monde extérieur - tomber d'un moulin professionnel dans un conte de fées complètement différent - mais c'est un problème pour une histoire complètement différente. Je m'échauffe. Je ne suis pas une personne religieuse, mais j'aime organiser moi-même le réveillon de Noël ou le passer avec mes proches juste pour me réchauffer - admet le Dr Sonia Geller.

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