Depuis le 1er janvier 2012, conformément à la nouvelle loi sur le remboursement, les pharmacies sont tenues de délivrer, à la demande du patient, un équivalent moins cher d'un médicament remboursé que le médecin prescrit sur l'ordonnance (le cas échéant). En outre, les pharmacies sont tenues d'informer les acheteurs de la possibilité d'effectuer un tel changement.

Bien que l'obligation de fournir des informations sur le substitutmoins cherexistait déjà auparavant, elle a été imposée àpharmacie . Maintenant, lepharmaciendispensant le médicament s'appliquera.

Le pharmacien doit fournir personnellement au patient les informations sur l' alternative la moins chère

Jusqu'à présent, les pharmacies ont affiché une publicité bien en vue indiquant que le patient a droit à des substituts moins chers pour les médicaments, maintenant le pharmacien doit transmettre cette information à chaque patient oralement. Stanisław Piechula, vice-président de la Chambre régionale des pharmaciens de Silésie à Katowice, craint que la Caisse nationale de santé n'envoie ses inspecteurs dans les pharmacies, dont la tâche sera de vérifier si chaque patient est informé par le pharmacien des substituts de médicaments existants qui leur ont été prescrits.

En cas de non-respect de cette obligation, la Caisse nationale de santé a le droit de sanctionner le propriétaire de la pharmacie d'un montant de 200 PLN. Une telle sanction peut être prononcée pour chaque cas révélé et confirmé lors de l'inspection. Cette procédure est prévue par l'ordonnance du ministre de la santé sur les conditions générales des contrats d'exécution des prescriptions et le modèle-cadre de ce contrat (Journal officiel n° 271, article 1606), entré en vigueur le 16 décembre.

Encore un tampon sur l'ordonnance

Les pharmaciens, afin d'éviter des pénalités pour avoir rempli l'ordonnance d'un médicament coûteux, envisagent la possibilité d'apposer un tampon au dos de l'ordonnance, ce qui indiquera qu'ils ont informé le patient de la disponibilité d'une alternative moins chère . La Caisse nationale de santé ne sait pas encore à quoi ressemblera l'application de ces sanctions dans la pratique. Les avocats préviennent qu'il s'agit peut-être d'une loi morte, car il est impossible de vérifier sur la base des documents disponibles à la pharmacie si le pharmacien a proposé de changer de médicament.

Important

Les avocats informent qu'il est pratiquement impossible d'appliquer la sanction, car le pharmacien doit être coupable de ne pas avoir rempli l'obligation, et à cette fin, les parties doivent être interrogées et témoins. A cet effet, la Caisse nationale de santédoit envoyer son inspecteur dans chaque pharmacie.

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